Le Magazine
Quitter X : un dilemme pour les communicants et marketeurs
Abandonner la plateforme X, c’est 1 vraie question pour chacun. Mais encore plus quand on bosse dans la communication, le marketing ou le digital.
Car on n’utilise pas X pour (seulement) rigoler, c’est bien plus que ça.
Car on n’utilise pas X pour (seulement) rigoler, c’est bien plus que ça.
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Toute peine mérite salaire
Rémunération, salaire, paie… autant de gros mots qui sont tabous en France, même dans les métiers de la création, de la communication, du marketing et du digital.
5 commentaires sur “Quitter X : un dilemme pour les communicants et marketeurs”
L’enjeu global est important. il faut travailler sur des solutions alternatives !
Le film s’appelle The social dilemma il me semble
la « propagande de Musk », un article extrement neutre. Peu importe, les gens vont rester sur X, et Musk ne va pas s’arrêter de dormir parceque la vieille France ne supporte pas que l’americaine se réveille….
A un moment il faut prendre le train en marche.
lorsqu’on est récepteur plutôt qu’émetteur de contenu, tant que le signal est audible il y a une vraie valeur à rester. le rapport signal/bruit est certes massivement à la baisse, c’est chronophage et usant, il faut juste bien connaître ses sources d’information –je ne parle pas de marques ou de consommateurs– et il reste beaucoup de contenus de qualité au quotidien.
Savoir s’adapter et se réinventer est un des prérequis de nos métiers. Les alternatives à X existent déjà. A nous de nous emparer de ces territoires et de les investir dans l’intérêt des marques que nous accompagnons. Que cela signifie poursuivre ou reprendre de 0 les stratégies déjà mises en place. La question du temps investi eu égard les risques de crise et réputationnels nombreux (sans parler de la question éthique centrale) que posent le fait de rester sur un réseau dont le propriétaire est un néo nazi assumé et qui a décrété très clairement son intention d’en faire un outil de propagande afin de normaliser son idéologie haineuse et de façonner l’opinion publique, est un non sujet en ce qui me concerne. Et c’est le cas de plusieurs marques qui ont déjà passé le pas.
Le documentaire dont vous cherchez le nom est “Derrière nos écrans de fumée” (The Social Dilemma).
Merci pour les commentaires.
@Sandra : oui c’est ça « the social dilemna »
@Hauri : ce site n’est pas neutre en effet, j’assume la position choisie qui consiste à ne pas cautionner les extrêmes, quels qu’ils soient.
@Yves : intéressante ce rapport signal / bruit.
@Eva : votre point de vue est très intéressant et défend les enjeux de la communication de crise. Mais être « non-sujet » risque de ne plus être permis longtemps, ni pour les marques, ni pour chacun d’entre nous non ?