Le Magazine
La belle histoire de « I was a sari »
Et on aime partager.
Une entreprise sociale à connaître
L’histoire de cette belle aventure créée il y a 10 ans par Stefano Funari, un italien soucieux tout autant de promouvoir l’émancipation des femmes en Inde, que d’avoir une démarche responsable. En évitant de jeter à la benne plus d’1,5 million de mètres de tissus.
La boîte s’appelle « I was a sari ». Comme son nom l’indique, il s’agit de redonner une seconde vie aux saris usés ou abîmés. Examinés, retouchés, découpés, recousus, assemblés… ils se transforment en pièces uniques haut de gamme comme des blousons, gilets, bijoux ou sacs.
Vendus dans le monde entier.
Changer l’avenir
Un bel exemple d’entreprise vertueuse qui permet à des centaines de femmes défavorisées de trouver un job et de rêver à un avenir. A l’instar de cette quadra, ancienne femme au foyer, devenue superviseuse, qui a ainsi pu financer les études de ses filles. Devenues ingénieurs.
Aujourd’hui, ces femmes artisanes sont soutenues par la grande marque italienne Gucci et font l’objet de plusieurs programmes de formation, et ont gagné des prix.
En 2021, l’organisation-mère de I was a Sari, 2nd Innings Handicrafts, était présente dans le classement 100 Corporate-Ready Social Enterprises (les 100 entités sociales prêtes pour l’univers de l’entreprise).
Le site est à découvrir ici : I was a sari
Sources : Le Monde, Equilibrium…
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