Le travail en temps partagé est-il fait pour vous ?

Ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier pour continuer à travailler ?

Une question qui se pose souvent.
Et pour cause, nombreux sont les communicants ou les marketeurs qui, passés 40 ans, s’interrogent sur leur avenir professionnel.
On est senior à quel âge ?
Vais-je poursuivre ainsi au sein de ma société ?
Pourrais-je évoluer dans d’autres entreprises sans risquer de me retrouver sans emploi ?
Où est le marché du travail quand on est expert, senior et qu’on a atteint un certain niveau de rémunération ?
Comment je fais jusqu’à la retraite ?

Ce sont des questions fréquemment posées par les candidats Elaee qui, contrairement aux jeunes qui ne s’inquiètent pas (ou beaucoup moins, ne faisons pas de généralités) de re-trouver un travail et qui sont à l’aise avec les nouvelles formes de travail (slashing, temps partiel, auto-entrepreneur, travail à la mission, etc.).
En effet, souvent les prérogatives familiales (payer les études des enfants, le loyer, les vacances…) ou sociales (être chercheur d’emploi est toujours profondément discriminant) engendrent une forte pression.
Et puis, culturellement, on n’est pas préparé à envisager un autre système social que celui que l’on connaît non ?

L’exemple le plus courant : la directrice de clientèle qui a fait tout son parcours en agence et qui, à 40 ans, fait les frais du jeunisme latent du monde de la communication. Une fois sortie des effectifs, le stress est grand car la visibilité sur sa carrière est très faible.

C’est là que, souvent, nous posons la question du temps partagé ?
Avez-vous réfléchi à scinder votre fonction pour adresser 2 ou 3 clients à qui proposer vos services ?
Avez-vous pensé au marché le plus important en France, celui des TPE ?
Une TPE n’a que rarement les moyens d’embaucher un senior, pourtant le besoin est là. Les aspects stratégiques, opérationnels et réduction des coûts que peut apporter un professionnel aguerri est assez facile à mettre en avant. Et c’est là que le dirigeant sera intéressé : en réduisant le nombre d’heures, il est plus facile de créer un poste, et surtout de tester le bien-fondé de la démarche.

Nous avons chez Elaee de nombreux exemples de Dircom à temps partagés et tous nous disent avoir trouvé la bonne solution. Intéressant car pas mono-budget, travail d’équipe et en même temps vrai apport personnel, binôme avec la direction qui a de l’écoute, approche gagnant – gagnant, facilités pour optimiser un budget achats et être force de proposition, participation active à la vie de l’entreprise… et gestion de son propre temps.

Bon, certes, c’est souvent là que le bât blesse car il est difficile de mettre en place le temps partagé sans se faire dépasser par le nombre d’heures. C’est le principal risque à surveiller car il est très facile pour 2 mi-temps cumulés de dépasser allégrement les 50 heures par semaine…

En tout cas, le temps partagé est une solution viable et fiable, sur laquelle réfléchir, et vous avez maintenant un Portail du temps partagé pour vous aider.
Qui nous donne quelques chiffres, dont celui (important) des 40 ans et plus qui représentent 78% des effectifs.

Le Travail à temps partagé concerne désormais plus de 430 000 professionnels en France, dans de nombreux domaines : ressources humaines, commercial & marketing, finance & gestion, administratif…
Il est plébiscité par 94% des professionnels qui l’utilisent !
– Les entreprises apprécient sa flexibilité (28%), l’expertise plus pointue des collaborateurs (25%) et leur meilleure maîtrise des coûts (20%).
– Les professionnels (salariés et indépendants), essentiellement des cadres (66%) expérimentés, le plébiscitent pour ses missions diversifiées (35%), leur autonomie (26%) et le bon équilibre entre vie privée et vie professionnelle (20%).

Plus d’infos à lire sur le Baromètre du temps partagé en cliquant ici.

Ou sur le site Le portail du temps partagé.