Le plaisir au travail, critère n° 1 des pros de la communication

En tant que recruteur, on vérifie tous les jours au contact des candidats que la définition d’un poste, son quotidien, le sentiment d’être utile et l’environnement de travail sont importants dans son job. Dorénavant, on peut mettre un chiffre en face de cette analyse, grâce à l’étude de la société Crop, pour  le Bec (Bénévolat d’entraide aux communicateurs) et Infopresse : 85% des personnes travaillant dans nos métiers placent le plaisir à exercer son travail comme prioritaire.
[Notez que cette étude a été faite auprès de 1338 personnes au Québec mais qu’elle conforte aisément les chiffres français, comme par exemple ceux de TNS Sofres indiquant que 80% des Français disent aller travailler avec plaisir, dont 52% tous les jours ou presque.]

Et ensuite nous direz-vous ?
En 2e position, arrive la reconnaissance avec 53% des sondés. Vecteur important dans ces métiers d’échange où la perception de soi et son rapport aux autres restent des valeurs intrinsèques, surtout quand on travaille un certain nombre d’heures (42,3 heures par semaine).

Dans les facteurs de première priorité dans l’acceptation d’un poste en communication, on voit la réputation de l’entreprise (ou de l’organisation) arriver en premier. Viennent ensuite les critères d’équilibre entre travail et vie privée (qui a perdu quelques points en 5 ans), la possibilité d’être formé pour évoluer, l’avancement et, en 5e position, le salaire.

Ce qui tend à appuyer l’idée (dont on parle souvent chez Elaee) selon laquelle plus le salaire est haut, plus le niveau d’exigence, de stress, de risque… est élevé. Tout est donc affaire d’équilibre entre ces différents critères. Vous en doutez ?

On vous conseille une petite méthode de calcul qui vous éclairera sur vos propres priorités : Le job idéal, ça se calcule !

Sources : Infopresse, TNS Sofres
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