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Avis aux Bisounours : travailler chez les grands n’est pas aussi rose qu’on le dit
Pour exemple, l’envers du décor donné par quelques salariés de Facebook : conditions de travail, management déficient…
C’est pour nous, recruteurs, l’occasion d’attirer l’attention des candidats sur le point suivant.
Il y a en effet les entreprises qui vous séduisent car elles offrent de belles références sur un CV, signes précurseurs d’une belle carrière. Certes.
Mais avez-vous pensé aux PME, PMI, ETI qui constituent plus de 80% des effectifs salariés ? Ces entreprises vous donnent d’autres plans de carrières, moins glamour certes mais beaucoup plus concrets. C’est sur ce marché (moins concurrentiel) que vous trouverez le plus d’opportunités et surtout, elles vous offriront davantage de responsabilités et de polyvalence dans vos missions.
Autrement dit soit :
– un joli nom d’entreprise mais un poste plus segmenté,
– une entreprise moins réputée mais des responsabilités accrues.
Ça vaut le coup de prendre le temps de bien cerner votre projet professionnel non ?
sources : JDN
copyright : clickbooth
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4 commentaires sur “Avis aux Bisounours : travailler chez les grands n’est pas aussi rose qu’on le dit”
Quel intérêt a cet article si ce n’est de faire du Clic ?
l’article du JDN est lui-même une traduction de Business Insider qui se réfère à des posts sur Quora… il aurait en effet été interessant de développer quelques un des thèmes, genre les sociétés en très forte croissance sont désorganisées, les stagiaires sont de la chair à canon, ou discuter de leurs modes (dans tous les sens du terme) de recrutement.
La césure n’est pas juste entre entreprises glamour et PME ou ETI (entreprises de taille intermédiaire), il y a aussi des petites structures au sein de grands groupes, de la techno ou du design ailleurs que chez FB et Google, enfin bon le choix n’est pas si simple. Mais on ne peut quand même pas exiger des articles de fond tous les jours 😉
Se poser les bonnes questions sur son orientation professionnelle, ça a toujours du sens (@Jean Bon). Sinon les chercheurs d’emplois, les jeunes dips et les salariés ne nous poseraient pas si souvent la question « où dois-je postuler ? »
[oops, quelques un*s…]
on sait depuis longtemps que chez Google par ex., tout le monde n’a pas le privilège de consacrer 20% de son temps à des ‘pet projects’, même si ceux-ci sont dans un intérêt réciproque bien compris.
l’autre question que j’aurais envie de poser, c’est la différence entre les jobs les campus de ces Apple, Google et autres sur la côte ouest des US, versus dans les filiales ex. en France.