Le Magazine
Un avis de recruteur sur les formations en architecture intérieure
Une journaliste de L’Etudiant nous a posé quelques questions, il y a peu :
Chez Elaee, d’où viennent les derniers profils créatifs recrutés ?
L’ENSAD, l’école Saint-Luc (Tournai, Belgique), l’ESAD de Strasbourg.
« Je place l’ESAG-Penninghen en tête du palmarès, car ses étudiants font preuve d’une curiosité et d’un grand sens artistique. Les Arts déco restent bien évidemment une référence très prisée des recruteurs, d’autant que bon nombre d’entre eux sont eux-mêmes des anciens. J’apprécie également l’ESAD de Strasbourg (même si elle n’a pas de section « architecture interieure », NDLR) : les nombreux workshops qui y sont organisés, le brassage des profils et la dimension internationale de cette formation constituent des atouts certains. Cette dimension internationale se retrouve aussi à Saint-Luc, un établissement belge remarquable pour ses enseignements liés à la fois à la création, à la technique et à la gestion.
Ceux qui veulent se forger un savoir-faire plus artisanal peuvent se diriger vers l’école Olivier-de-Serres. Beaucoup d’architectes d’intérieur en sont issus, qu’ils soient ensuite recrutés en agence ou dans des entreprises (hôtellerie, commerce…). »
Quel est votre conseil ?
« Les recruteurs sont attentifs à la consistance des books personnels, pas seulement aux travaux d’école ! »
L’intégralité et d’autres interviews (d’archis notamment) à lire dans la rubrique Ecoles spécialisées, le classement des pros sur L’Etudiant.
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Rémunération, salaire, paie… autant de gros mots qui sont tabous en France, même dans les métiers de la création, de la communication, du marketing et du digital.