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6 conseils pour se faire repérer par un chasseur de têtes
On a déjà pas mal disserté sur le sujet et on lit un peu tout et n’importe quoi, notamment sur le web.
Là, c’est une synthèse bien écrite donnée par le site de l’Apec. On voit d’ailleurs que les sites emplois font maintenant beaucoup d’efforts pour communiquer par le biais de blogs pro, à l’instar de Regionsjob.com ou Cadremploi.
L’article en question reprend, en 6 points clés, les stratégies gagnantes pour devenir visible et être contacté par les cabinets de recrutement.
1. Devenez un people !
Etre dans les annuaires d’écoles bien sûr, mais aussi prendre la parole, se faire connaître, par exemple en participant à des associations ou à des conférences.
2. Google et moi.
Qui n’a pas fait cet exercice dangereux pour son ego de « googleiser » son nom et son prénom ?… Attention aux déceptions et aux mauvaises surprises.
3. Bienvenue dans la CVthèque.
Déposer son CV dans les candidathèques online est devenu un passage obligé, c’est vrai.
4. Autre incontournable : les sites de réseaux professionnels.
Incontournable on vous dit. Voir à ce sujet le billet Etre identifié par des chasseurs de têtes.
5. Apprivoisez les médias.
Bon, là, ça demande un savoir-faire de Communicant, mais oui, être cité dans la presse est un efficace bon point.
6. Vos efforts ont payé, vous voilà contacté.
C’est le moment d’instaurer une bonne relation avec le recruteur, pour le poste pour lequel il vous contacte… ou pour d’autres.
Ne reste plus qu’à ajouter que vous pouvez aussi contacter directement les cabinets de recrutement, il s’agit de professionnels qui sauront étudier votre dossier avec toute la confidentialité requise.
Si vous voulez en savoir plus, c’est sur : Apec.fr/delia/MaCarrière.
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2 commentaires sur “6 conseils pour se faire repérer par un chasseur de têtes”
Justement, avez-vous des conseils pour aborder directement des cabinets de recrutement ? La lettre de motivation doit-elle être "classique" ou peut-elle être plus ouverte ?
Et une question plus personnelle : peut-on aborder sérieusement ces cabinets après seulement un an d’expérience (en plus des stages) ou est-ce trop tôt ?
Pour la lettre de motivation, elle doit surtout, du mieux possible, répondre à la question : qui êtes-vous et quelle est votre valeur ajoutée. Alors classique, dans le sens où il y a certaines infos incontournables : oui.
Ou ouverte, c’est selon votre personnalité et votre envie : oui aussi.
Vous pouvez peut-être aller voir notre billet intitulé "La lettre de motivation qui tue" (http://www.elaee.com/elaee/index... pour plus d’infos.
Pour votre question concernant les années d’expérience, il faut savoir que les cabinets de recrutement sont le plus souvent missionnés pour des postes exigeant un minimum de 2 à 3 ans. Maintenant, notre métier c’est aussi de faire émerger des plus jeunes à fort potentiel, aidés en cela par leur personnalité, motivation ou talent.